Les intentions si « pures » de ceux qui ont lancé le RIP animaux

Il y a de ça quelques semaines, le RIP animaux était lancé par 3 milliardaires, assistés d’une poignée d’activistes animalistes « en vue ». Un objectif déclaré : passer par la voie législative pour profondément modifier la relation entre l’homme et l’animal, et dans la foulée éliminer « redéfinir » l’élevage…

Cet intérêt si soudain pour la cause animale dans ce qu’elle a de plus extrême nous a paru tout d’abord étonnant, surtout de la part de capitaines d’industrie dont l’un d’entre eux n’est pas étranger à « l’exploitation animale » (sic). En effet, Xavier Niel est le propriétaire du groupe Paris-Turf, ce qui laisse songeur, sachant à quel point les antispécistes sont opposés à toute forme « d’asservissement animal » (siclire l’article du JDG à ce sujet). Les turfistes doivent apprécier…

Progressivement, le voile se lève sur les probables motivations de ces « aventuriers législatifs »… En effet un récent article du Figaro, révèle un investissement de foodtech, un fonds d’investissement appartenant entre autres à Xavier Niel, dans la première usine en France « Les nouveaux fermiers ».

Si vous avez du mal à comprendre ce que font les mots « usine » et « fermiers » dans une même phrase, l’explication arrive assez vite dans l’article : il s’agit en fait d’une unité de fabrication de produits ultratransformés, imitant autant que possible la viande.

Les internautes n’ont pas tardé – avec humour – à relier les points entre eux et en tirer un conclusion que nous partageons : Et si cette pseudo croisade du RIP animaux avait un tout autre objectif ?

La CFA (entre autres organisations), a d’ailleurs publié le 23/09 un communiqué de presse qui va en ce sens :

23092020-Communique_de_presse_Fausse_viande_et_fin_de_lelevage_les_masq…

Plus nous décortiquons ce RIP animaux, plus les réelles intentions de ceux qui instrumentalisent la naïveté d’une partie des Français se dévoilent…

Nous devons collectivement veiller au grain, et partager ce que nous savons avec nos connaissances, surtout celles qui sont éloignées de la réalité terrain et du monde rural…

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