On peut parfaitement échanger avec des militants soucieux du bien-être animal (et d’ailleurs on le fait), car la plupart d’entre eux comprennent bien que les éleveurs ont à cœur le bien-être des animaux qu’ils élèvent.
Mais que peut-on penser des extrémistes qui ont peint sur les vitrines des bouchers et fromagers de la rue des Pyrénées dans le 20ème à Paris cet hallucinant message :
« Éleveurs = violeurs »
(si si vous avez bien lu)
Au-delà de l’acte de vandalisme, et de la lâcheté de ce type d’actions, on peut vraiment se poser des questions à propos de la santé mentale de ceux qui les commettent.
L’article est à lire ici (pour les abonnés France Agricole) , ou bien ici en vidéo (BFM avec RMC) :