Les lobbies sont bien utiles, car il faut parfois expliquer des situations compliquées à des hommes et des femmes politiques souvent très éloignés de la ruralité, du monde agricole et de ses enjeux.
Les ONG vegans antispecistes font rigoureusement de même, sauf qu’évidemment les idées véhiculées par ces organisation sont dans un tout autre registre, anti-viande, anti-éleveurs, etc.
Un excellent article paru dans le Figaro (édition abonnés) et signé par Clément Fayol et Edouard de Mareschal braque le projecteur là où il faut…
Dans cet article, nous découvrons que ces ONG, à force de procès perdus (les juges savent bien faire la différence entre un « lanceur d’alerte » et quelqu’un qui s’introduit en toute illégalité dans un élevage), ont fini par se dire que de parler aux politiques pouvait tout de même présenter un intérêt.
C’est depuis cette prise de conscience qu’a pris place un intense « grenouillage », à l’Assemblée nationale et dans tous les lieux de pouvoir en France et en Europe… Plus récemment, ces ONG ont enclenché la vitesse supérieure, en plaçant directement des militants antispécistes dans de nombreux conseils municipaux, car si le lobbying c’est bien, porter directement la propagande « bonne parole » aux administrés, c’est encore mieux !
Si vous habitez dans une ville plutôt sale, où « les rats sont protégés », ne cherchez pas plus loin…
Pour mieux comprendre : « Des abattoirs aux couloirs de l’Assemblée nationale, la grande offensive des végans »